Charles Fournier -. Ce texte est arrivé dans un contexte d’urgence climatique dont seul le président de la République pensait qu’elle n’était pas prévisible. Toutefois, l’enjeu des énergies renouvelables est une priorité pour les écologistes. Nous avons donc abordé ce texte avec un a priori positif tout en disant que ce texte était bizarre, qu’il manquait d’ambition sans préciser comment la France compte rattraper son retard ni les moyens que à mobiliser pour améliorer cette accélération des énergies renouvelables. Nous avons donc tout fait pour y apporter des éléments déterminants. Mais tel qu’il est aujourd’hui, ce texte n’est pas bon et nous ne pouvons pas lui donner un crédit écologiste.